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Industrie 4. 0 représente la réorganisation et le pilotage global des réseaux interconnectés de la chaîne de valeur à l’ère de la quatrième révolution industrielle. pratiquement, il s’agit d’une approche globale des besoins de chaque client, de l’utilisation de données en temps réel et de la prise en compte du bilan environnemental dans le process de fabrication. Ceci repose sur l’utilisation en temps réel des données ( « Big Data » ) jusqu’ici non connectées, produites par la mise en réseau de l’ensemble les entités impliquées dans la conception de valeur.
Au 19e s., l’europe et les États-Unis connaissent de grandes transformations financiers et sociales. Stimulés par les avancées techniques, ils s’industrialisent. C’est à cette époque que les chemins de fer ( et les premières locomotives fumantes ) apparaissent, de la même manière que le jour le télégraphe, le appel téléphonique, et les journaux bon marché qui font circuler plus vite les idées et les toutes nouvelles. La croissance extraordinaire des villes fait de cet âge industriel une ère . La première révolution industrielle est généralement présentée comme le produit technique accompli à la fin du 18e s. et au début du 19e siècle. Ainsi manifestation et l’amélioration de la machine à vapeur en 1769, inventée par la langue anglaise James Watt permet d’actionner d’autres machines et change radicalement les solutions de production. Cette période marque irruption de la mécanisation qui érigera l’industrie en fondements de la structure économique de la société, se substituant ainsi à l’agriculture. L’extraction massive du charbon couplée à cette nouvelle machine à vapeur pro permet de mettre à disposition une énergie nouvelle qui permettra de donner une poussée aux réseaux ferroviaires et aux partenariats financiers.
À partir des belles saisons 1982, la gauche au pouvoir a privilégié la lutte contre l’inflation en mettant fin à l’indexation des revenus sur les prix, et la défense du franc. Dans le même temps, l’entreprise a été réhabilitée aux dépens de la consommation des foyers afin de relancer l’investissement. Ces orientations libérales se sont développées pendant les deux cohabitation de 1986 à 1988 sous Jacques Chirac, et de 1993 à 1995 sous Édouard Balladur, avec la suppression du contrôle des changes et de l’autorisation administrative de licenciement, et avec les privatisations, puis à nouveau de 1995 à 1997, sous le gouvernement Juppé avec le plan de réforme de la protection sociale et du régime de retraite repoussée à 65 ans dans le privé, la multiplication des aides aux sociétés.
L’industrialisation paraît aussi favorisée par un situation économe favorable. Pour certains historiens, la révolution industrielle est précédée par une révolution agricole lors de laquelle on aurait assisté à l’amélioration des techniques agricoles ( enclosures, meilleure rotation des cultures ). L’augmentation des rendements ainsi recueillie aurait permis à quelques vendeurs d’épargner puis d’acquérir. pour terminer, cette agriculture en se développant aurait été une grosse consommatrice d’éléments industriels ( machines agricoles, engrais ). Cependant, il ne faut pas exagérer l’importance de la révolution agricole. Elle favorise mais n’explique pas l’industrialisation. Les progrès de l’agriculture aurait permis de alimenter une population en augmentation. il faut dire que l’union européenne est alors en pleine transition démographique. Elle passe d’un ancien régime démographique à un nouveau régime démographique en allant par une phase d’augmentation rapide de l’accroissement naturel. Ainsi la population passe de 140 centaines de milliers d’habitants en 1750 à 266 millions en 1850. Cette population nombreuse constitue une main d’œuvre et une demande importante pour l’industrie.
Car en vue de de concevoir le désastre industriel français, il convient de revenir sur les erreurs stratégiques des pouvoirs publics français et de nos grands patrons, eux-mêmes issus du moule techno-politique via les grands corps. Nous devons à Serge Tchuruk dans les années , le boss de ce qui était alors Alcatel ( depuis démantelé en de multiples entités ), d’avoir théorisé chez nous le concept d’industrie sans usines, sans présents, «asset-light» : une hérésie stratégique vite abandonnée par les Américains mais qui a perduré en France jusque dans les années 2000. Or notre monde économique moderne, loin d’avoir vu la disparition de la vieille industrie à la place d’une économie purement tertiaire et de services, est beaucoup plus complexe. En réalité nos économies sont devenues hypra industrielles, avec le tool ou les services à valeur ajoutée qui sont venus transformer l’usine d’antan. Les smart factories embarquent des compétences en info, robotique et automatisation en brouillant la frontière avec l’univers de et des GAFA. Ainsi, d’une certaine façon, la fabrication industirelle n’existe peut-être plus comme secteur autonome mais paradoxalement elle est omniprésente : même les négociateurs des toutes nouvelles nouveautés doivent déployer des plateformes industrielles et logistiques colossales, que ce soit Amazon ou Google avec ses data centers.
En dépit de ces quelques changements dans l’univers de la cuisine, il faut dire que c’était surtout durant le XIXe siècle que la manufacture de produit industiel alimentaire a connu une évolution remarquable. Disons même qu’entre les années 1940 et 1970, le secteur a à dompter principalement le champ de l’industrialisation. Du point de vue technologique, le congélateur a été utilisé pour la première fois ; ce qui veut dire l’entrée du monde dans la période de la surgélation des aliments. Aussi, le four micro-onde était possible à tout le monde ; et le fait de se procurer des déjeuner déjà précuits était très prisé. Mais ce qui a aussi été très notoire à cette époque, c’était la réalité nouvelle des additifs alimentaires. Ce qui a permis aux ventes d’atteindre leur summum. Sans oublier que la France faisait partie des acteurs principaux de cette croissance sans équivoque. A côté de tous cela, le goût et les matières premières n’étaient pas les seuls à connaître une bonification ; les techniques sont aussi montées d’un cran. D’où, l’affichage des dates limite d’utilisation et la création de certains ferments en relation à l’industrialisation des nourritures.
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